Saccharomyces cerevisiae
CNCM I-3856
Notre flore intestinale est constituée de milliards de microorganismes : des bactéries, des levures, des champignons et même des virus. Cette flore, aussi appelée microbiote, est caractérisée par un subtil équilibre entre ces différents microorganismes. Un déséquilibre peut engendrer des sensations de gêne voire d’inconfort intestinal.
Saccharomyces cerevisiae est une levure non colonisatrice. Cela signifie qu’elle n’adhère pas à la paroi intestinale, limitant le risque de candidose. Cependant, elle peut atteindre une concentration élevée dans l’intestin et s’y maintenir sous une forme vivante. De nombreuses études1-3 ont été réalisées avec Saccharomyces cerevisiae CNCM I-3856. C’est le cas par exemple de l’étude clinique randomisée menée en double aveugle versus placebo, de Pineton de Chambrun1 qui a été réalisée sur des personnes âgées de 18 à 75 ans, présentant des signes de côlon irritable1.
Imutis Cerevisia contient une souche de levure spécifique : Saccharomyces cerevisiae CNCM I-3856. Cette souche a été sélectionnée au terme d’années de recherches parmi plus de 6000 souches de levures.
Le + Trenker
La souche spécifique utilisée dans Imutis Cerevisia est enregistrée auprès de la Collection Nationale de Cultures de Microorganismes (CNCM).
Composition par dose* (1 gélule):
Saccharomyces cerevisiae CNCM I-3856 : 4 milliards de bonnes levures
* Dose journalière maximum recommandée.
Utilisation
1 gélule de Imutis Cerevisia par jour à prendre le matin pendant le repas.
Pour prolonger les effets de Saccharomyces cerevisiae CNCM I-3856, il est conseillé de poursuivre la prise de Imutis Cerevisia dans le temps.
Numéro de notification : AS 21/31
COMPLÉMENT ALIMENTAIRE - Ne pas dépasser la portion journalière recommandée. Ne se substitue pas à un régime alimentaire équilibré et varié ainsi qu’à un mode de vie sain. L’utilisation prolongée de micro-organismes vivants chez les enfants, les adultes immunodéprimés et les patients porteurs d’un cathéter veineux central, n’est pas recommandée.
1Pineton de Chambrun et al., 2015
2Spiller R. et al., 2015
3Cayzelle-Decherf A. et al., 2017